exposition vlaminck 2006
Notre vieux château s'apprête à accueillir un grand peintre,
une page en signe de bienvenue !!!
EXPOSITION VLAMINK 2006
DU 10 JUIN AU 3 SEPTEMBRE
la beauté je vois ça comme une sorte de précipice »
Maurice de Vlaminck
Maurice de Vlaminck est né courant avril 1876 à Paris, dans une famille de musiciens flamands.
A seize ans, il quitte le domicile familial et s'installe dans les environs de Versailles pour y exercer son métier de mécanicien.
Passionné par la peinture et le cyclisme, Maurice de Vlaminck apprend le métier de cycliste afin de mieux gagner sa vie. A dix-huit ans, il rencontre Suzanne Berly qui deviendra sa femme.
En 1900, il se lie d'amitié avec André Derain au hasard d'une rencontre. Plus tard, il fait la connaissance de Vincent van Gogh qui l'impressionne, puis de Henri Matisse. Dès lors, il prend la décision de se consacrer totalement à la peinture.
En 1904, il découvre et se passionne pour l'art africain.
En 1905, Maurice de Vlamick expose huit de ses tableaux au « Salon d'Automne ». Vollard lui achète quelques-unes de ses toiles. Homme de recontres, il débat fréquemment de Paul Cézanne avec Braque, Picasso, Jacob, van Dongen et Derain. Lors d'un séjour en Angleterre, il fait la connaissance de Modigliani.
Anti-militariste profond, le déclenchement de la Première Guerre Mondiale lui cause une grande crise morale. C'est alors que ses idées et recherches sur la peinture évoluent.
Divorcé de sa première femme, il épouse en secondes noces Berthe Combes en 1919. Le couple s'installe à Valmondois.
La même année, son exposition à la Galerie Druet est un véritable succès.
En 1925, de Vlaminck s'installe au manoir de « La Tourillière » à Rueil-la-Gadelière en Eure-et-Loir et y demeurera jusqu'à la fin de ses jours.
En 1933, il expose de nouveau à Paris au « Palais des Beaux-Arts », puis à New-York en 1937.
En 1944, sa participation au voyage en Allemagne organisée par la France occupée lui vaut de nombreuses accusations et une arrestation après la guerre.
La Galerie Charpentier lui organise une grande exposition en 1956. C'est l'occasion de constater une véritable scission entre les critiques : certains considérant de Vlaminck comme le maître du vrai modernisme, d'autres le qualifiant de « traître de la peinture moderne ».
Maurice de Vlaminck s'éteint en 1958 dans son manoir de « La Tourillière ».
A seize ans, il quitte le domicile familial et s'installe dans les environs de Versailles pour y exercer son métier de mécanicien.
Passionné par la peinture et le cyclisme, Maurice de Vlaminck apprend le métier de cycliste afin de mieux gagner sa vie. A dix-huit ans, il rencontre Suzanne Berly qui deviendra sa femme.
En 1900, il se lie d'amitié avec André Derain au hasard d'une rencontre. Plus tard, il fait la connaissance de Vincent van Gogh qui l'impressionne, puis de Henri Matisse. Dès lors, il prend la décision de se consacrer totalement à la peinture.
En 1904, il découvre et se passionne pour l'art africain.
En 1905, Maurice de Vlamick expose huit de ses tableaux au « Salon d'Automne ». Vollard lui achète quelques-unes de ses toiles. Homme de recontres, il débat fréquemment de Paul Cézanne avec Braque, Picasso, Jacob, van Dongen et Derain. Lors d'un séjour en Angleterre, il fait la connaissance de Modigliani.
Anti-militariste profond, le déclenchement de la Première Guerre Mondiale lui cause une grande crise morale. C'est alors que ses idées et recherches sur la peinture évoluent.
Divorcé de sa première femme, il épouse en secondes noces Berthe Combes en 1919. Le couple s'installe à Valmondois.
La même année, son exposition à la Galerie Druet est un véritable succès.
En 1925, de Vlaminck s'installe au manoir de « La Tourillière » à Rueil-la-Gadelière en Eure-et-Loir et y demeurera jusqu'à la fin de ses jours.
En 1933, il expose de nouveau à Paris au « Palais des Beaux-Arts », puis à New-York en 1937.
En 1944, sa participation au voyage en Allemagne organisée par la France occupée lui vaut de nombreuses accusations et une arrestation après la guerre.
La Galerie Charpentier lui organise une grande exposition en 1956. C'est l'occasion de constater une véritable scission entre les critiques : certains considérant de Vlaminck comme le maître du vrai modernisme, d'autres le qualifiant de « traître de la peinture moderne ».
Maurice de Vlaminck s'éteint en 1958 dans son manoir de « La Tourillière ».